L’anxiété généralisée peut toucher n’importe qui. Evelyne est une jeune femme indépendante et gaie. Mais même si elle a dans sa vie de belles réussites, elle ressent parfois des angoisses tellement intenses qu’elle craint régulièrement de devenir folle. Elle a beau se rassurer en se disant que sa vie est pleine de satisfactions, elle ne cesse de ruminer et de se reprocher ses peurs incessantes…
L'anxiété généralisée, manifestations d'un trouble fréquent
Elle se manifeste par différents symptômes :
• au niveau physique, vous sentez une fébrilité et une agitation hors de propos ; des tensions musculaires, avec le sentiment que votre cœur bat trop fort (et des inquiétudes à ce sujet), vous vous sentez épuisé et vidé de votre énergie.
• au niveau cognitif et psychique : vous vous inquiétez pour le futur de façon systématique, vous avez l’impression de ne pas pouvoir vous arrêter de penser. Vous ressentez des difficultés à vous concentrer et des trous de mémoire.
Au niveau de votre équilibre de vie : votre sommeil est perturbé : vous avez des difficultés à vous endormir, parfois vous vous éveillez en sursaut au milieu de la nuit. Vous avez perdu l’appétit. Votre épuisement laisse le champ libre aux maladies opportunistes : rhumes, grippes etc…
Les deux formes courantes de l'anxiété généralisée
Elle se manifeste par différents symptômes :
• au niveau physique, vous sentez une fébrilité et une agitation hors de propos ; des tensions musculaires, avec le sentiment que votre cœur bat trop fort (et des inquiétudes à ce sujet), vous vous sentez épuisé et vidé de votre énergie.
• au niveau cognitif et psychique : vous vous inquiétez pour le futur de façon systématique, vous avez l’impression de ne pas pouvoir vous arrêter de penser. Vous ressentez des difficultés à vous concentrer et des trous de mémoire.
Au niveau de votre équilibre de vie : votre sommeil est perturbé : vous avez des difficultés à vous endormir, parfois vous vous éveillez en sursaut au milieu de la nuit. Vous avez perdu l’appétit. Votre épuisement laisse le champ libre aux maladies opportunistes : rhumes, grippes etc…
Les causes fréquentes : un stress, qui non traité, se généralise
Parmi les événements de vie qui peuvent déclencher l’anxiété généralisée :
– Le stress au travail suscite un épuisement physique et/ou psychique, de même que la perception d’une situation professionnelle instable.
– Les bouleversements familiaux, tels que les décès, les maladies, les séparations sont parfois les déclencheurs de l’anxiété.
– Les changements de situation personnelle : départ des enfants, divorce, retraite sont des facteurs d’anxiété.
– Des traumatismes, tels que accidents ou agressions, voire cambriolages
– Mais aussi des bouleversements hormonaux : ménopause, traitements pour accroître la fertilité…
L'anxiété généralisée chez l'enfant et l'adolescent
Alma a 8 ans et elle déteste se coucher car elle est sûre que des voleurs vont entrer dans sa maison pendant la nuit…Jean a 6 ans et ne veut plus manger devant les autres… Noé a peur des autres élèves et refuse de parler en classe…
L’anxiété est liée aux peurs de l’enfance ainsi qu’aux réactions des enfants aux expériences nouvelles. Il est normal pour les enfants d’éprouver une certaine anxiété. Il y a lieu de s’inquiéter, en revanche, lorsque cette anxiété est anormalement intense, qu’elle se manifeste fréquemment et dans des contextes différents.
Chez l’enfant et l’adolescent, des troubles anxieux sont principalement de l’ordre de l’angoisse de séparation. Cette angoisse est conditionnée par le mode d’attachement qui s’est mis en place lors des premiers temps de la vie. On distingue en général trois formes d’attachement :
1. L’attachement sécure dans lequel les enfants réagissent sans détresse particulière lors de la séparation de leur parents, car ils savent que leur parent va revenir.
2. L’attachement ambivalent, dans lequel l’enfant réagit avec beaucoup de détresse lors d’une séparation. C’est souvent le cas quand le parent n’est pas disponible : l’enfant ne peut se fier au parent quand il en a besoin.
3. L’attachement évitant, dans lequel l’enfant va éviter le parent. Il n’aura pas de préférence entre un étranger et le parent, ce qui dénote une situation de défiance de l’enfant vis à vis du parent.
L’anxiété va être plus fréquente lors d’un attachement ambivalent ou évitant. Généralement, les enfants anxieux sont tranquilles, rêveurs et peu turbulents. Leur anxiété va s’exprimer plutôt par des symptômes comme les troubles du sommeil ou de l’alimentation, des peurs sociales, des « boules au ventre », des refus inexpliqués. L’enfant ne sait pas verbaliser son angoisse et donc elle passe parfois inaperçue (contrairement à des troubles plus bruyants, comme l’hyperactivité, par exemple)
En cas de trouble anxieux généralisé, que ce soit dans l’enfance, à l’adolescence ou à l’âge adulte, il vaut mieux consulter un psy. En effet, le trouble risque de devenir un état invalidant. Quelques séances permettront au patient, quel que soit son âge d’apprendre à gérer ses angoisses et à penser ses problématiques en y trouvant des alternatives.
Comment fonctionne une thérapie dans ce cas ?
Plus on essaye de lutter et plus elles se renforcent. C’est ce qu’il y a de terrible. Les crise d’angoisse, les attaques de panique, d’anxiété, les différentes malaises (vagaux…) ou spasmophilie sont souvent perçus comme quelque chose d’absurde, d’injuste, d’incontrôlable. Souvent on se résigne et l’on masque le problème à coups de médicaments. Ce n’est pas la bonne solution. Les TCC et la Thérapie Systémique ont développés des protocoles dont le fonctionnement est systématique. Nos programmes spécifique en dix consultations (TCC, Thérapie systémique, PNL, EMDR, Hypose clinique, Gestalt…) vous demanderons du travail et de l’implication mais cela vaut la peine de s’en sortir.